D'Esquel à San Carlos de Bariloche.

Janvier 2011.






Nous repassons la frontière vers l'Argentine par le paso Futaleufu.

Et nous retrouvons la steppe patagonienne, sèche et ventée.







Nous faisons une petite halte à Esquel, ville fondée au XIXème siècle par des pionniers gallois, histoire de refaire le plein et de laver nos affaires.

Nous bivouaquons sur les hauteurs de la ville dans un petit bois de conifères.

Nous sommes heureux de retrouver un beau soleil et des températures estivales.







Béatrix, qui ne manque pas d'imagination, entraine ses frères et soeurs dans une promenade en train avec les moyens du bord...







Agathe, sûrement inspirée par les lieux, fait ses maths au milieu de la prairie!







Nous poursuivons notre route vers le nord en direction de San Carlos de Bariloche.







Le décor change soudainement, et la steppe laisse place à un paysage alpin.





Nous nous arrêtons à El Bolson, charmant petit village où se sont installés, dans les années 70, de nombreux hippies venus du monde entier.

Il faut croire qu'ils se soient embourgeoisés car nous n'en avons pas vu beaucoup!





Il fait tellement chaud que nous prenons d'énormes glaces chez Jauja, le fameux glacier de la ville.

Vu la mine rejouie des enfants, ça n'a pas l'air mal...







Nous arrivons enfin dans la région des lacs.

San Carlos de Bariloche, située en bordure du lac Nahuel Huapi, se donne des airs de petite ville suisse avec ses chalets et ses avenues arborées.







Les allusions aux Alpes ne manquent pas!

C'est aussi une ville réputée pour son chocolat et le choix ne sera pas facile à faire!







Tugdual, que les eaux claires font rêver, refait le plein d'hameçons.

Pas moyen de faire du camping sauvage dans ce coin très touristique.

Nous nous installons donc au "camping des flots bleus" en bordure du lac.







On en profite pour écrire quelques mails, mais comme souvent la connexion laisse à désirer.

Tout le monde est ravi de se jeter à l'eau, même si elle est plutôt fraîche.

Et Matthieu prépare un radeau de fortune avec quelques chambres à air, ce qui fait la joie des enfants.

Pas facile de faire avancer un tel bateau, mais le petit coup de main se prend assez vite.







Les enfants pataugent et jouent pendant des heures dans ces eaux translucides.

Nous fêtons les huit ans de notre Enguerrand.

Nous n'avons trouvé que deux bougies à mettre sur le gâteau, mais elles sont de taille respectable.

Bon anniversaire Engus.

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