Sainte-Anne-de-Beaupré.

Septembre 2011.








Il faut descendre pour admirer le beau petit village de Rivière-Saint-François, coincé sur les berges du Saint-Laurent.



Alors que nous sommes à plus de 500 kilomètres de la sortie de l'estuaire, les marées se font fortement sentir.




Et les paysages sont très marins, alors que l'eau est douce.

Dans le village, un habitant a décidé de refaire les fondations de sa maison.

La maison est levée, puis déplacée d'une vingtaine de mètres sans même avoir vidé les placards: incroyable !



Nous partons faire une grande balade au Mont du lac des cygnes.




Les filles aimeraient bien attraper les tétards de ce petit lac.



La fin de la ballade se fait sur des pontons, afin de protéger la flore fragile.










Grand-père, sujet au vertige, ne monte pas jusqu'en haut mais bénéficie quand même d'une belle vue.

Arrivés au sommet, la vue est vraiment magnifique.










Et sur le chemin du retour, Tugdual tombe sur des chanterelles grises.

Génial !

La basilique de Sainte-Anne-de-Beaupré est un haut-lieu de pélerinage des catholiques nord-américains.

Ce drôle de bâtiment arrondi n'est pas une mosquée, mais un cyclorama où est exposée une immense peinture circulaire de plus de 1500 m2.




A l'entrée de la basilique, pas d'ex-voto mais des cannes qui témoignent des nombreuses guérisons ayant eu lieu ici.




Sur le parking, ce véhicule nous intrigue.

Après vérification, le corps de l'orignal n'est pas dans la voiture, mais dans la remorque derrière !


Grand-père et Grand-mère nous invitent au restaurant pour fêter l'anniversaire de Matthieu.

37 ans, déjà ! Mine de rien, on vieillit !











Mais l'heure du départ a sonné, et nous avons un peu de mal à rentrer tous les bagages dans la voiture.

Grand-père et Grand-mère vont rapporter avec eux tous les souvenirs amassés en 11 mois de voyage.


Mais arrivés à l'aéroport, les valises sont trop lourdes.

Un nouveau tri est nécessaire et nous jetons quelques souvenirs, ce qui nous vaudra quelques pleurs des enfants.








Au revoir Grand-père et Grand-mère, nous avons passé quinze jours formidables.

Page suivante         Carnet de route