Hapone.

Octobre 2011.









Les routes sont assez escarpées dans ce paysage de montagnes.





Au détour d'un chemin, nous sommes arrêtés par cette bande de "gais lurons".

Ils ont bricolé une guitare avec un vieux bidon, une planche et de la ficelle.

Le plus drôle c'est que ça marche !








Ca les amuse beaucoup de se voir dans la caméra !

Ils entraînent les enfants dans leur danse: les enfants sont hilares.

Les routes sont assez improbables au Lesotho, et nous n'avancons pas vite du tout.







Nous finissons par être pris par la nuit dans une zone très reculée.







Nous arrivons dans un village et une bande d'enfant se jette sur la voiture.






Ils nous emmènent trouver le chef qui nous invite à camper devant sa maison.

Pas facile de monter la tente au milieu de tous ces curieux !






Le matin, Mpho, le chef du village, fait les cent pas devant la voiture pour éviter que les enfants viennent nous déranger.

Charmante attention !

Nous lui montrons sur une carte la France, et le trajet que nous allons faire: il n'en croit pas ses oreilles.

Un grand merci pour votre accueil si simple mais tellement attentionné.

La route qui quitte le village est tellement mauvaise qu'un groupe d'enfants finit par nous rattraper.






Ils nous réclament à manger, et Matthieu fait une distribution de biscuits après les avoir mis au garde à vous.

Certains passages sont plus que délicats.







Les vallées se succèdent, mais la route principale est encore loin.





A un croisement, nous nous trompons de chemin et la piste devient impraticable.

Il y a beaucoup de dévers et le véhicule commence à glisser dans la pente.

Tout le monde dehors !



Matthieu creuse sous les roues pour mettre la voiture en sécurité sous le regard de quelques Basothos sortis d'on ne sait où.



Ensuite corvée de pierre pour tout le monde.







Suivi d'un bon terrassement pour s'extraire sans risque de cette piste hasardeuse.

Matthieu et Tugdual ont tellement d'ampoules aux mains qu'on finit par employer de la main d'oeuvre locale.

Ouf, nous voilà sortis de ce mauvais pas !

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