De Tsumeb à Opuwo.

Décembre 2011.









Nous nous installons au camping de Tsumeb pour souffler quelques jours.


Nous visitons le petit musée retraçant le passé minier de la région.

C'est le premier dimanche de l'Avent et nous allons à la messe dans la plus vieille église de la ville.





Les enfants passent des heures dans la gigantesque piscine dont dispose le camping.





La baignade suivie d'une bonne séance de trampoline: autant dire que le soir ils n'ont aucun problème pour s'endormir !








Nous rencontrons Sakkie, un Namibien qui parcourt le pays depuis 30 ans dans son Defender affichant 700 000 kilomètres au compteur.

Sakkie est aventurier-photographe et édite des livres de voyage sur la Namibie.






Il nous conseille un itinéraire incroyable dans les zones semi-désertiques du nord-ouest du pays.

Merci Sakkie, nous sommes prêts à tenter l'aventure !






Direction le nord.

Il ne faut pas rouler trop vite car des troupeaux traversent la route sans trop se soucier des voitures.








Nous passons la nuit dans une ancienne mission luthérienne.

Un petit musée raconte l'histoire de ces hommes courageux venus évangéliser l'Afrique.



Un village typique owambo a été reconstitué à proximité.







Ces grands paniers servaient à conserver le millet à l'abri des rongeurs.




Béatrix s'amuse avec un nouvel ami pendant que les grands font l'école.








Le long de la route nous croisons de véritables champs de termitières.







Nous arrivons à Opuwo, dernière ville où nous pouvons nous ravitailler avant les grandes zones désertiques du nord.


Cette ville est un mélange incroyable de cultures:

des Hereros habillées de grandes robes victoriennes et dont les coiffures si typiques rappellent les cornes des vaches,





des Himbas vêtues d'une simple peau de chèvre,






ainsi qu'une autre tribu, venue d'Angola, dont les femmes portent des tissus plus colorés et semblent apprécier le port du soutien-gorge !






Tout ce petit monde cohabite dans une athmosphère tout à fait étonnante.




Nous déjeunons à la sortie de la ville, et sommes rapidement rejoints par un groupe d'Himbas qui ne semblent avoir aucun scrupule à partager notre repas.

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