Livingstone.

Janvier 2012.








En arrivant à la frontière zambienne, nous dépassons des files impressionnantes de camions.







Il faut dire qu'il n'y a pas de pont pour traverser le Zambèze et que le bac ne prend que deux camions à la fois !







Les formalités douanières côté Zambien sont un peu anarchiques, et un chien en profite pour faire un petit somme sous le Land.







Nous sommes à la saison des pluies, mais heureusement les averses ne durent jamais très longtemps.

Les panaches de vapeur que dégagent les chutes Victoria se voient de loin.


Le Zambèze se jette dans une faille assez étroite sur un front de plus de 1500 mètres de large !

Avec une chute de 80 mètres de haut, le spectacle est saisissant.



Pour s'approcher des chutes, les ponchos sont de rigueur !

Quand le vent ne souffle pas dans le bon sens, la vue des chutes est presque complètement obstruée par le brouillard d'eau qu'elles dégagent.

L'endroit est magnifique.

Nous descendons au bord du Zambèze afin d'admirer les amateurs de sensation forte qui sautent à l'élastique depuis le vieux pont de fer qui sépare la Zambie du Zimbabwe.

Matthieu aurait bien tenté l'expérience et nous explique que les coefficients de sécurité sont tels qu'il est impossible que la corde ne casse: mais vraiment Charlotte a trop peur.









Il faut croire que Charlotte avait raison de s'entêter !

Quelques jours après notre passage, les faits démentiront la belle théorie de Matthieu !


Pour les 9 ans de notre Enguerrand nous organisons un barbecue-piscine.

Ce sera peut-être la seule fois de sa vie !

Bon anniversaire à notre Engus.


Du coca pour tout le monde et une boîte de Quality Street: les enfants sont aux anges en dépit de la frugalité de ces anniversaires du tour du monde !







Nous assistons à la messe dans la cathédrale de Livingstone.

Le sermon est incroyable et nous pensons avoir affaire à l'évêque du lieu.

Il s'agit en fait d'un jeune prêtre ordonné depuis 4 mois à peine: chapeau !

Les marchés sont vraiment couleur locale.







Certains étals nous laissent quelque peu dubitatifs !






Matthieu promet un mars et un coca aux courageux qui oseront goûter un ver de mopane séché.

Tugdual se dit que le jeu en vaut la chandelle, mais la tête qu'il fait en croquant son ver décourage les autres candidats !





Un artisan taille des objets en bois en utilisant une hache assez rudimentaire.

Il nous explique qu'il les fabrique lui-même en utilisant des vieilles lames de ressort.

Les garçons adorent et on finit par lui acheter ses outils !

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