Dar Es Salaam.

Janvier 2012.










Nous voilà en Tanzanie.

Ce pays est né en 1964 de l'alliance entre le Tanganyika et Zanzibar.







Nous traversons des paysages superbes, quoique très différents de la Zambie.

Ici aussi les accidents de poids lourds sont légions.

Les véhicules accidentés rentrent bon an mal an à la maison, mais c'est bien-sûr toujours nous que la police arrête !

Une bonne quarantaine de fois durant les 20 jours que nous avons passé en Tanzanie: ça devient lassant ...









De nombreux villages jalonnent la route principale que les voitures doivent alors partager avec les piétons et les vélos.




Nous prenons de l'eau dans un village et il nous faut quelque temps pour comprendre que la dame nous demande de payer.

En effet, la "vendeuse" ne parle pas un mot d'anglais et notre swahili n'est pas vraiment au point.

Nous pensons au début qu'il s'agit d'une arnaque à touriste, mais en fait tous les villageois qui remplissent leurs bidons s'acquittent d'un droit.





La route traverse le parc de Mikumi.

Un grand panneau placé à l'entrée stipule que les personnes en transit n'ont pas le droit de regarder ou photographier la faune !

Difficile néanmoins de garder ses yeux et son appareil dans sa poche !




Les routes d'accès aux antennes téléphoniques sont les rares routes, en Afrique, qui ne mènent pas à un village ou une habitation.

Nous avons donc pris l'habitude de les explorer quand nous recherchons un lieu de bivouac.

L'antenne vers laquelle nous nous dirigeons est située sur une haute montagne, et nous en profitons pour transporter le gardien et son vélo.

Nous bivouaquons à proximité, avec une vue incroyable sur la vallée.





L'arrivée sur Dar Es Salaam est assez cahotique. La conduite y est pire qu'au Caire !

A un feu rouge, nous assistons ébahis au vol d'une glace de rétroviseur.

Tout cela s'est passé en une fraction de seconde: incroyable !







Nous empruntons un bac surchargé pour traverser le bras de mer coupant la ville et rejoindre notre camping.







Franck, qui nous a abordé lors de notre arrivée, nous sert de guide pour la journée.



Le chômage fait des ravages dans cette mégapole africaine, et chacun se trouve un petit boulot pour ne pas mourir de faim.





Nous commençons notre visite par le marché aux poissons.

Nous voyons un beau requin et un superbe espadon.




Les gros poissons sont vendus sur les étals, mais le menu fretin est passé à la friture dans un bâtiment dont l'ambiance nous fait d'avantage penser à une forge qu'à une friterie !







A la fin de la visite, un bon lavage des chaussures n'est pas du luxe !

Les enfants préfèrent de loin le marché aux coquillages, cette fois-ci pas de mauvaises odeurs !

Nous sortons ensuite de la ville pour découvrir un fruit qui nous intrigue. Mais que peuvent donc bien renfermer ces noix à la forme si étrange ?

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