Archipel des San Blas.

Mai 2011.


A bord, la vie s'organise. Par cette chaleur, on n'est bien que dans le carré.






Nous voyons plein de poissons volants qui s'échappent tels des libélulles à l'approche d'un prédateur.

Plusieurs finissent leur course sur le pont pour la plus grande joie des enfants.

Au milieu de la traversée, nous sommes rejoints par un groupe de dauphins: génial!







Muriel adopte rapidement les enfants et réciproquement.









Ce n'est pas facile de travailler à bord avec le bateau qui tangue.



Tout le monde est sur le pont pour la manoeuvre...









Après 40 heures de traversée, nous arrivons à l'archipel des San Blas.

Il est composé d'environ 400 îles paradisiaques, habitées par les indiens Kunas.



Les récifs coraliens sont pleins de poissons multicolores.









Malheureusement le temps n'est pas au beau fixe.

Comme la pluie menace, nous construisons une cabane en palmes.



Nous nous rafraîchissons en ouvrant quelques noix de coco avec les moyens du bord.










Et tels des robinsons, nous partons à la découverte de l'île.







Celle-ci est habitée par quelques familles Kunas qui vivent dans des cabanes assez rudimentaires.



Les femmes fabriquent et vendent des molas, ces tissus richement travaillés à la main, qui servent à orner le devant de leurs robes.





Les indiens Kunas tirent une bonne part de leur revenu de la production de noix de coco.




Dès que le soleil revient, tout le monde repart à la baignade.

Nous faisons la connaissance de Paul et Gwena, qui nous invitent sur leur bateau: l'apéro est bien arrosé.

Ils sont partis pour un tour du monde de deux ans et demi après avoir vendu leur restaurant à Montmartre.

Ce sont des bons vivant et on rigole bien.







Alfred a du succès lorsqu'il sort ses playmobils sur le pont.






Béatrix, qui adore les petits, préfère jouer avec Violette.

Bon vent à tous les 4, et peut-être à bientôt dans le Golfe du Morbihan.



Les garçons essayent de pêcher depuis le pont du bateau, mais c'est Tadeusz qui réussit à sortir un petit thonnidé à la traîne.





Après encore une journée de traversée: "Terre en vue"!

Nous ne sommes pas fâchés de retrouver la terre ferme, car en dépit de ce qu'on pourrait penser, un Land est plus confortable qu'un bateau!





Merci Muriel et Tadeusz pour cette expérience inoubliable.

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