Oasis de Dakhla.

Avril 2012.


C'est au milieu du désert que notre bon vieux Land passe les 200 000 miles, soit 320 000 kilomètres.

Nous arrivons à l'oasis de Dakhla.







Les habitants se protègent du soleil avec des chapeaux de paille très typiques.








Nous faisons une halte dans la vieille ville abandonnée de Balat.

Faites de briques en terre crue, de palmes et de quelques troncs difformes, les maisons sont de toute beauté.

Les passages couverts répartis dans toute la ville empêchaient les assaillants de pénétrer à cheval dans les rues !



Les enfants adorent partir à la découverte de toutes ces maisons ouvertes aux quatre vents.







Nous nous arrêtons sur le bord de la route pour regarder ces ouvriers qui creusent un puit.


Avec des outils plus que rudimentaires et un treuil à bras, ils creusent en un mois un puit de 120 mètres de profondeur.

Incroyable !



Nous nous baignons dans la source d'eau chaude riche en fer et magnésium de Bir Talaata. Ca décrasse !






Les Polonais qui avaient pris un peu de retard nous rejoignent.

Les garçons, partis à leur rencontre reviennent juchés sur le capot.



Avant de visiter la vieille ville de El Qasr, nous mettons Demokrator en laisse.




Le vieux moulin à blé, abandonné depuis les années 20 est encore en très bon état.

Tous les linteaux de porte en bois d'accacia sont magnifiquement gravés.

La ville est un vrai labyrinthe. Mais attention, les planchers en bois de palmier sont quelque peu vermoulus !

Dans l'ancienne école, Agathe, très autoritaire, donne un cours de Français à ses élèves.

"How do you say glasses in French?" interroge-t-elle.

"Binocles" répond Mateusz, un vieux casque vissé sur sa tête ! Mort de rire !


Le vieux moulin à huile et sa presse sont superbes.






En fin d'après-midi, les Polonais organisent un match sur la place du village.

Les petits Egyptiens jouent rudement bien.



A la fin du match, ils repartent tous avec un ballon Globall 2012.

La joie est sur tous les visages.





Nous aussi, nous avons le droit à notre ballon, et Béatrix devient une fan de foot.




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